Il y a en nous des mots qui dansent devant le grand miroir du subconscient. Le poète, fort de sa foi juvénile, absorbe mille et une chose de la réalité quotidienne?
Un part alimente sa réflexion immédiate, le sidère ou le transporte, et il va ainsi savoir décrire avec sensiblité. Savoir comment il découvre, perçoit, et ce que cela lui inspire. Là, l'image poétique tient peu de l'image instantanée.
La poésie permet de disposer de ce pouvoir magique de naître, comme de n'être, à chaque instant dans un état de grâce sans cesse renouvelé.
Il s'agit donc de la conscience des choses, dés la sensation, puis de l'émotion et de la réflexion pour une part- car un nombre important se trouve collecté par le subcconscient qui correspond à la partie immergée de l'iceberg. Conscience, soit présence d'esprit ne retenant d'abord que ce qu'elle considère essentiel- l'autre part étant avérée comme une grande richesse, beaucoup plus tard.
Un mot, une voix, une certaine atmosphère, suffiront à les réactiver. Par analogie dit-on, ce stimulis engrangés, d'informes prendront forme.
Des phases qui s'apparentent à l'exercice salutaire du travail d'analyse; Une sorte de feed- back.
mercredi 26 mars 2008
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